Du 28 au 31 mars, le député de Jonquière et porte-parole du Bloc Québécois en matière de Ressources naturelles et d’Énergie, Mario Simard, participe à une mission à Berlin à l’invitation du ministre des Ressources naturelles, Jonathan Wilkinson. Le député Simard prendra part à l’un des plus importants forums mondiaux sur la transition énergétique et a été invité à se joindre à la Journée sur l’énergie Canada-Allemagne ce jeudi.
« Le Dialogue sur la transition énergétique à Berlin est un événement annuel de haut calibre rassemblant les leaders gouvernementaux, économiques, scientifiques et de la société civile autour du sujet de l’heure en Europe. La transition énergétique qui est un vaste chantier dans lequel le Québec est déjà offre des opportunités sans précédent pour le développement économique des régions comme la nôtre. Ce forum m’offre l’occasion de partager la vision d’un Québec plus vert, notamment grâce à ses richesses forestières et sa capacité hydroélectrique. L’urgence climatique et les récents rapports du Groupe d’experts sur le climat nous enseignent à prendre les bonnes décisions maintenant, et c’est ce que je surveillerai au cours des prochains jours », affirme Mario Simard.
En plus des ministres et délégations d’élus de plus de 60 pays, sont inscrits au programme l’envoyé spécial du président des États-Unis pour le climat, John Kerry, la présidente de la Commission européenne récemment en visite à Ottawa, Ursula Von der Leyen, et la secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, Patricia Espinosa, seront présents. Le député de Jonquière assistera entre autres à des conférences sur l’hydrogène et se rendra visiter une usine novatrice de l’entreprise allemande Siemens. M. Simard rencontrera également le vice-chancelier et ministre fédéral de l’Économie et du Climat, Robert Habeck.
« Je remercie le ministre Wilkinson de l’invitation à la Journée sur l’énergie Canada-Allemagne qui permettra assurément d’échanger sur le rôle que le Québec peut jouer quant à la nécessaire transition de l’économie. J’y ferai valoir le fort potentiel des infrastructures régionales pour accueillir des projets en énergie propre », conclut M. Simard.